Les traditions Canariennes

Les traditions Canariennes

20-09-2017   Découvrez Gran Canaria

Lles îles Canaries sont une région aux riches coutumes, traditions et nombreux fêtes ! Pendant les fêtes

Fête de l’étang à La Aldea (flaque d’eau).

Chaque année une fête spéciale est célébrée dans les flaques d’eau sur la côte de la Grand Canarie, à La Aldea, qui provient d’une technique de pêche ancien, dénommé « embarbascar ». Cette technique est d’assommer les poissons dans les flaques d’eau du village de San de Nicolás avec du jus de Cardonal et Tabaiba (Euphorbie) et a commencé bien avant la conquête des îles Canaries par les anciens habitants de la Grand Canarie.

Il est possible de construire des piscines d’eau salée grande à l’embouchure de La Aldea, flaques d’eau et pour attraper des poissons temporairement grâce à la puissance de la mer à la fin du mois d’août et début septembre, quand l’eau monte plus que d’habitude, connu comme  Maciega.

Pétanque canarienne

Pétanque canarienne comprends jeter une boule dès un point établi avec le but de se rapprocher ausitôt que possible d’une boule de couleur, essayant de séparer le contraire. Un match de pétanque canarienne est fini quand une des deux équipes obtient 12 points. Chaque équipe peut se composer de la quantité de joueurs désirés autant que l’autre aie la même quantité.


 

Typiques vêtements canariens

Les “vêtements de magicien” sont faits de nos jours avec d’autre matériaux qu’auparavant. Nantes, cotton, lin, étaient les mêmes matériaux de faire vêtements typiques: Jupon de lin blanc noir ou rouge, et extérieur de la laine noire. Ça c’était le cas dans des villages de La Palma seulement, car chaque región en a ses propres modèles et variants.


      

La lucha canaria, nuestro deporte autóctono 

Lutte canarienne pratiquée par les autochtones Guanches qui habitaient les îles Canaries dans l’histoire préhispanique. À l’époque, ce qui est appliqué aux îles Canaries, est similaire à la campagne originale, peu c’était aux luttes de mêlée et que montre qu’il est très important dans cette culture fonctionnait seulement lors d’occasions spéciales.   

L’idée principale de cette lutte canarienne est que l’adversaire en dehors de la plante des pieds  touche le sol aussi avec une autre partie du corps; la tactique étant saissir les pantalons et autres techniques connues. Il n’est pas autorisé à se battre sur le terrain ou se saissir qui bien connus dans d’autres arts martiaux.

Elle est réalisée par des équipes de 12 combattants, le gagnant étant celui qui a obtenu plus de points, chaque fois l’adversaire justement battu. Techniques et l’habileté du lutteur sont plus importantes que la force, qui au temps commun étant le plus petit catcheur le vainqueur.

La langue du sifflet des habitants de La Gomera

La langue du sifflet est comme son nom l’indique, un type de chiffrement sifflé de messages oraux sur des distances considérables, en profitant du monde montagneux de La Gomera (Gorges et des vallées à couper le souffle très fermées). Quelque chose que les habitants de La Gomera comparent à un presse-agrumes géant. Dans des conditions de vent favorable, un message peut atteindre une distance de 3 ou 4 milles, prenant en considération que La Gomera n’est pas plus de 25 km de long, il ne serait pas très difficile d’obtenir ces messages à l’autre extrémité, même si ils ont couru de bouche en bouche près d’une demi douzaine de fois.

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